APPROCHE

Limitons le nombre des objets, développons l’imaginaire par le virtuel, optimisons l’utile.

L’usage et la poésie sont traités à égalité. La fonction bien posée permet l’évasion vers un univers propre à chacun, accessible à tous. La matière apparaît et disparaît pendant le projet, je l’interroge comme un sujet en soi.

Le son, la lumière ou l’eau sont les matières vivantes de l’espace urbain à protéger. Le projet est réussi quand le sujet s’intègre d’évidence dans un lieu, dans le temps qu’il transcende.
L’essentiel naît du recensement des complexités du projet triées et soumises à tous types de situations et de publics, abordées par des hypothèses les plus inattendues. Cette observation sensible nourrie la relation entre l’objet, l’homme et son environnement proche.